Ce qui ne peut être vu

Le sujet ici, est celui de la matière. 
C’est un rapport à la perception-même de cette matière. Ce sont les notions de présence et d’absence, d’interprétation, d’un rapport au réel, de l’importance du hasard à travers cette perception. 
C’est aussi l’union de la matérialité chimique analogique et de l’immatérialité numérique. 
C’est un autre réel qui nous interpelle alors, une autre empreinte de ce qui a été. Voici donc les traces secrètes de la lumière.